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lundi 28 février 2005

Ton mensonge

Voilà encore un petit poême, à croire que je ne sais faire que ça...
Je vous previent il n'est pas terrible, car écrit en 5 minutes

Je t'aime, combien de fois ces mots tu me les as prononcés
Je t'aime, tu es la seule qui hantes mes pensées.
Nuit et jour tu me l'a rappelé...
On c'était juré d'un jour de s'épouser.
Et maintenant tu as osé m'abandonner.

Oui je ne suis pas comme elle,
Je t'accorde ne pas être aussi belle, ni aussi sensuelle
Méritais-je cela, que tu m'oublis en une nuit
Alors que ça devais durer toute la vie...

Je t'aime, je te revois me le dire
ça me faisait toujours autant sourire
Avant toi je n'avais jamais vraiment aimé...
Mon coeur tu viens de me le briser.
J'aurais tant voulu voir cette histoire continuée...

Je ne suis pas la plus intelligente des femmes
Mais est-ce réellement un drame ?
On devait rester, ensemble pour l'éternité,
Mais notre histoire, brusquement c'est achevée.

A elle, lui dis tu toutes ces phrases qui m'ont tant plu?
Lui dis tu que sans elle tu ne vis plus ?
Qu'à coté d'elle , toutes les filles n'ont plus d'attraits
De la beauté, elle seule connait le secret ?
Et dire que je te croyais...


vendredi 4 février 2005

Nuit Rhénane d' Apollinaire

Bon Apollinaire c'est simple, on aime ou on deteste.
Il met beaucoup de sens cachés et son style est particulier...
Je hais sa vision des femmes, mais j'ai adorée ce poeme...
(ah oui, la ponctuation c'est pas un oublie, l'auteur n'en a pas mis)

Mon verre est plein d'un vin trembleur comme une flamme
Ecoutez la chanson lente d'un batelier
Qui raconte avoir vu sous la lune sept femmes
Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu'à leurs pieds

Debout chantez plus haut en dansant une ronde
Que je n'entende plus le chant du batelier
Et mettez près de moi toutes les filles blondes
Au regard immobile aux nattes repliées

Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent
Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter
La voix chante toujours en râle-mourir
Ces fées aux cheveux verts qui incarnent l'été

Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire


Femmes

Bon voilà un autre poème de ma création... Vous voyez comment je m'amuse en cours ^^

Charmantes et desirées,
Elles savent jouer de leur sensualitée.
Les hommes de tout temps ont été tentées,
Et pourvus qu'a jamais elles gardent leurs pouvoir de charmer.

L'on a voulu les priver de leurs charmes,
Ces puissants machos ont eu peur de faibles femmes,
Car elles ont l'amour comme arme.

Mais regardez les ces pretes pretendus etre purs,
Porter des robes de femmes comme armure...
Mais contre elle mener des croisades, pour une petite pomme du croquer
Et ont trop longtemps été detestées.

Ô que cela peut m'amuser,
De voir que de si petites creatures ont longtemps sût les effrayer.