Voilà encore un petit poême, à croire que je ne sais faire que ça... Je vous previent il n'est pas terrible, car écrit en 5 minutes
Je t'aime, combien de fois ces mots tu me les as prononcés Je t'aime, tu es la seule qui hantes mes pensées. Nuit et jour tu me l'a rappelé... On c'était juré d'un jour de s'épouser. Et maintenant tu as osé m'abandonner.
Oui je ne suis pas comme elle, Je t'accorde ne pas être aussi belle, ni aussi sensuelle Méritais-je cela, que tu m'oublis en une nuit Alors que ça devais durer toute la vie...
Je t'aime, je te revois me le dire ça me faisait toujours autant sourire Avant toi je n'avais jamais vraiment aimé... Mon coeur tu viens de me le briser. J'aurais tant voulu voir cette histoire continuée...
Je ne suis pas la plus intelligente des femmes Mais est-ce réellement un drame ? On devait rester, ensemble pour l'éternité, Mais notre histoire, brusquement c'est achevée.
A elle, lui dis tu toutes ces phrases qui m'ont tant plu? Lui dis tu que sans elle tu ne vis plus ? Qu'à coté d'elle , toutes les filles n'ont plus d'attraits De la beauté, elle seule connait le secret ? Et dire que je te croyais...
Bon Apollinaire c'est simple, on aime ou on deteste. Il met beaucoup de sens cachés et son style est particulier... Je hais sa vision des femmes, mais j'ai adorée ce poeme... (ah oui, la ponctuation c'est pas un oublie, l'auteur n'en a pas mis)
Mon verre est plein d'un vin trembleur comme une flamme Ecoutez la chanson lente d'un batelier Qui raconte avoir vu sous la lune sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu'à leurs pieds
Debout chantez plus haut en dansant une ronde Que je n'entende plus le chant du batelier Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile aux nattes repliées
Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incarnent l'été
Bon voilà un autre poème de ma création... Vous voyez comment je m'amuse en cours ^^
Charmantes et desirées, Elles savent jouer de leur sensualitée. Les hommes de tout temps ont été tentées, Et pourvus qu'a jamais elles gardent leurs pouvoir de charmer.
L'on a voulu les priver de leurs charmes, Ces puissants machos ont eu peur de faibles femmes, Car elles ont l'amour comme arme.
Mais regardez les ces pretes pretendus etre purs, Porter des robes de femmes comme armure... Mais contre elle mener des croisades, pour une petite pomme du croquer Et ont trop longtemps été detestées.
Ô que cela peut m'amuser, De voir que de si petites creatures ont longtemps sût les effrayer.