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samedi 23 avril 2005

Mes cadeaux

Voici une description que je ne fais que pour le plaisir...


Posés devant moi deux magnifiques cadeaux enroulés dans un embalage aux couleurs chatoyantes.
Une envie me prend de tout deballer... J'essaye de lutter, je ne devrais pas ouvrir ça quand je suis seule. Nan, je ne suis pas égoiste.
Mais comment resister? Alors lentement mes mains avancent près celui aux couleurs les plus clairs. Je le déballe et me retrouve devant mon precieux tresor.
Sa couleur blanche me lance des signaux, au diable ma famille... Ils n'avaient qu'a etre present. Alors lentement je coupe un carré, puis un second de ce chocolat blanc.
Demain je regretterai mon geste, en regardant ma balance (bien que mon poids change rarement et en general c'est pour baisser) mais pour l'instant je savoure ce present...
La tablette est maintenant finie, j'ai deja tout avaler.
Et maintenant en moi a lieu un autre dilemme... Vais-je manger la seconde tablette de chocolat au lait?

mercredi 20 avril 2005

Où es-tu?

Non pour une fois vous n'aurez pas un extrait, juste mon avis...

Je dois avouer que je me suis lancée dans ce roman, en pensant sincerement qu'il serait mauvais... Oui j'avoue j'ai été sceptique et est doutée des talents de Marc Levy. Pourquoi ça? Le resumé au dos ne m'interressait pas. Et puis n'ayant rien à lire, le livre étant dans la bibliotheque de mon père, je me suis demandée pourquoi ne pas le lire.
Les premieres pages, n'attirerent guères mon attention, pas que le roman soit mauvais. Le talent de Marc Levy est indeniable, mais le fait est que je ne voulais pas me laisser tenter. J'ai poser mon bouquin et suis retournée vacquer a mes occupations.
Le lendemain je n'ai même pas pris la peine de le lire.
Ce n'est que le sur lendemain que je me suis replongée dans la lecture. Je devais avoir un regard nouveau, car il n'a fallut que peux de temps pour que le roman me charme. Je suivait avec interet la trame. J'aimais à me sentir voyeur en lisant la correspondance de deux antagonistes.
La magie a opérée... J'avoue sans aucune honte avoir fremis à certains passages, qu'a d'autres mes larmes ont doucement perlées sur mes joues... J'avoue sans problèmes être sensible, mais ce roman a su m'emouvoir pile comme il le fallait, ni trop, ni trop peu.
Pour finir je dirai que si je n'ai pas choisit un passage c'est que beaucoup trop me plaisait. Mais si je devais ne retenir que deux phrases de ce roman, celles qui m'ont le plus marquées. Elles serait celle prononcé par Lisa que je vais vous raportez. Bien que je pense que si vous n'avez pas lut ce livre, elle ne vous attendrisseront certaine pas autant qu'elle m'ont touchée.
"Pourquoi maman n'est elle pas revenue avec moi? À quoi ça sert mes cauchemards si elle ne se réveille pas elle aussi?"
De "Et si c'était vrai" et "Où es-tu?" ce roman est à mon sens le meilleur des deux... Mais peut être cet avis n'est il pas partagé.

Mon blog

Voilà je ne sais pas si ça vous interresse, mais je marque les raisons pour lesquelles je suis attachée a ce blog...
Si la lecture vous gonfle, vous pouvez passez à autres choses, mon blog n'est principalement constitué que de ça.

Je regarde mon blog et je le trouve beau, different... Longtemps je me suis dis que ce qui m'attirait sur cette vulgaire page était les couleurs. Mais pourquoi il serait deifferent d'un autre? Qu'est ce qui les differencie à mes yeux alors qu'a celui des autres il est quelquonque?
Ses questions sont longtemps rester sans reponses... Puis aujourd'hui j'ai cru comprendre, finalement les raisons de cet attachement ne sont pas si compliquées...
Ce blog n'est que peu remplis, mais il commence a le devenir au fur est a mesure... Il devient mon confident, à qui je raconte toutes mes humeurs. Je sais qu'il ne me juge pas, et que d'un simple clic tout est effacé. Et puis c'est un peu comme mon journal intime, que les gens peuvent lire... Ils voient mon humeur du jour, decouvrent mes goûts. Et puis quand je tape quelque chose, je ne me demande pas ce que vont en penser les gens, si ça vas plaire ou non. Tout d'abord je crée, puis on improvise le moment venu...
Alors même si ce blog ne plait a personne, je continuerai a le faire juste pour mon plaisir personnel.

samedi 16 avril 2005

Le petite chose

En tant que fan je ne pouvais pas ne pas mettre une de leur chanson sur mon blog...


Le petite chose:
On a tous nos intérieurs, nos petits choses. Ce qui fait au fond de nous qu'on est tout d'même quelque chose: celui qui gratte ou qui s'titille, celui qui dort ou qui s'rabille.Le petit chose au fond d'son âme, qui nous comprend ou qui s'pavane! Arrête toi et viens avec moi prendre un verre!On va parler tu vas me dire et me défaire les nœuds rusés que tu as semés. Mauvaises orties bien plantées! Allez rentrons dans notre labyrinthe! Viens! J'ai besoin d'aide! Je te connais, je sais, tu viens de ma famille. Je te vois dans les yeux de maman quand ils brillent. S'ils avaient dénoué le nœud, la chose ne serait plus dans mes yeux. C'est incroyable de se sentirPasser la
main vers l'avenir!
On a tous nos intérieurs, nos petits choses. Ce qui fait qu'une lutte peut être quelque chose. Souvent je m'attendais moi-même me disant il faut que tu viennes !Il faut que tu viennes de toi-même tu sais,J'ai autre chose à faire !Alors je t'évacue, d'un geste de la main,Te ramène à la porte, te montre le chemin.Mais tu es revenu à la chaîne !Et je suis passé de la haine,De la haine à l'indifférence, de l'indifférence à l'errance.Et tu sais, le jour où la vie m'a lâché,J'ai senti sa présence, il m'a raccompagné...J'ai compris c'était pour la prochaine,Que dans l'autre vie j'emporterai mon problème. Je me souviens de cette fille qui apprenait à me dire "je t'aime" !
Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes. Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes qui voudraient jamais revenir de peur hélas de reproduire, de reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre! Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes. Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmesQui voudraient jamais revenirDe peur hélas de reproduire, de reproduire la même chose leur seul exemple sur la terre! Il y en a qui se suent, qui travaillent sur eux-mêmes. Des marins sur la mer, seuls avec leur problèmes qui voudraient jamais revenir de peur hélas de reproduire, de reproduire la même chose !
Tryo

vendredi 15 avril 2005

Les sourires

Bon voici un texte tordu, droit sortit de mon esprit qui l'est tout autant...


Les sourires sont trop souvent associés au bonheur.
Pour les gensune personne qui sourie estforcément heureuse?
Or de mon côté, que je sois joyeuse ou pas il est toujours là.
Quel meilleur moyen d'éviter les explications sur votre humeur du moment que de paraitre gai?
Biensur sourire ne fait pas fuir le noir qui est en vous, les autres n'y voient, certes que du feu, mais pas la personne qui joue ce rôle. Alors forcement si un coup de sang vous prend, les gens ne vous comprendrons pas. Eux ont le droit de s'enerver pour une raison bien moindre... Mais puisque vous semblez heureux vous n'avez le droit de vous énervé...
Souris et tais-toi, laisses-les autres te parler de leurs problèmes, toi tu ne peux pas en avoir. Alors les laisses-les parler d'eux même, le seul sujet qui les interessent.
Juste pour le plaisir de se sentir different, juste pour ne pas toujours parler de soi; quand on vous demande comment vous allez, indeniablement repondez "ça va" .

L' Alcool au volant

Voilà je ne poste pas cette article pour sa moral, juste parceque ça m'a touchée...
J'ai trouvé ceci placardé dans ma salle de classe, il paraitrai que ça viens d'une chaine, alors peut être que vous connaissez...

Maman, je suis allée à une fête,
Et je me suis souvenue de ce que tu m'avais dit.
Tu m'avais dit de ne pas boire,
Alors j'ai pris un sprite à la place.
Je me suis sentie fière de moi,
De la manière dont tu avais dit que je ne pouvais
Pas boire et conduire en même temps.
Même si tout mes amis me disaient que je devais,
J'ai fait un choix-santé
Et ton conseil était judicieux.
La fête a pris finalement fin
Et les jeunes ce sont allés,
Quasiment tous saoûls.
Je me suis rendue a ma voiture,
Certaine de revenir à la maison en une seule pièce.
Je n'ai jamais envisagée ce qui allait ce passer.
C'était la derniere chose à laquelle j'avais pu songer.
Je suis maintenant allongée sur le pavé,
Maman, et j'ai entendu le policier parler.
Dire que le jeune qui m'avait heurté était saoûl.
Maman, sa voix me semble loin.
Je baigne dans mon propre sang
Et j'ai vraiment essayer de ne pas pleurer.
Je peux entrendre l'infirmier dire
"Cette fille va mourir".
Je suis sûre que le jeune ne savais pas ce qui c'était passé
Pendant qu'il était saoûl.
Il a choisit de conduire
Maintenant, moi je dois mourir.
Pourquoi tout le monde le fait
Maman, en sachant que ça ruine des vies?
Et maintenant je meurs de douleur.
Dis à ma soeur de ne pas avoir peur,
Maman, dis à Papa qu'il doit être brave.
Et quand j'irais au Paradis,
Ecris "La fille à Papa" sur ma pierre tombale.
Quelqu'un aurait dû lui dire
Que c'était mal de boire et de conduire.
Peut-être que si ses parents l'avaient fait,
Je serais vivante là!
Mon souffle diminue,
Maman, je commence vraiment à avoir peur,
C'est un moment si soudain
Et je ne suis tellement pas prête!
J'aurais aimée que tu me tiennes dans tes bras,
Pendant que je suis allongée et que je meurs.

dimanche 10 avril 2005

"Fanfan" Alexandre Jardin

Ce roman raconte l'histoire d'Alexandre Crusoé qui decide que jamais sa passion pour Fanfan ne sombrera... Il depeint une description d'une femme qui m'as fort plu.

Monsieur Ti et Maude employait à l'hôtelune Normande acariâtre, agreste et dragonnante que tout le monde appelait Hermantrude. Etait-ce son véritable nom? Je ne l'ai jamais su. Exessivement viandée, charpentée comme une homme, Hermantrude était depouillée de tout charme par de cruels chromosomes. Ses aïeux avaient dû boire pour elle depuis le haut Moyen Age. Elle était dotée d'un organe vocal qui réveillait les plus endormis, d'un rire hennissant et d'un corsage quasiment vide sous lequel fluctuaient deux souvenirs de seins. Son crâne était couvert d'une peaux flasque et loite qui, débordant vers le cou, lui faisait une gorge opulante de bactracien. Ses paupieres rougiesne fermaient qu'avec la plus grande difficulté, tout comme son orifice bucal dont les lèvres semblaient deux limaces. Ses cheveux étaient d'origine, mais elle avait soin de les teindres en roux ardent tous les quinzes jours. On la supposait rustique car son physique de gargouille ne possédait que trois expressions. L'une le contentement animal, l'autre d'une lubricité inquiétante - elle n'avait jamais dû voir le loup - et la troisieme une rage sourde. Elle collectionnait avec passion les cartes postales exotiques. Devant ces photographies d'un ailleur radieux, sa trogne devenant presque humaine.