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samedi 23 juin 2007

* Politique *

Si seulement nos hommes politiques étaient des enfants en bas âges, ils seraient bien plus faciles à gérer – et notre président ne paraîtrait pas aussi petit.

Imaginez un homme politique qui décide de déclarer la guerre à un autre pays, parce que l’autre pays en question lui a fait tel ou tel outrage. Si le président était comme Max, il suffirait de lui demander si il veut un verre de jus d’orange, ou « où est Josh ? » (son petit frère) , puisque celui-ci passe sa journée à répéter « Josh is here », pour que toute rancune soit oubliée, pour même qu’on oublie pourquoi on pleurait…
Maintenant prenez le même exemple qu’avant mais remplacez Max par Josh, il suffit de lui tendre un biberon de lait, et plus rien d’autre n’existe, et cette technique marche à tous les coups !
C’est décidé notre président devrait être un enfant d’un an !

Quoi que visiblement monsieur Poutine à trouver au G8 comment calmer notre président…

Vous reprendrez bien un petit verre de vodka ?!


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lundi 18 juin 2007

* Le chant de la liberté *



Fermes les yeux et concentres toi.
Laisse ton souffle devenir léger.
Pense à ce que tu aimes, les petits actes qui te permettaient de te sentir en vie, de te sentir libre.
Concentres toi, oublies ces barreaux qui nous enferment.
Vas-y fait ce que je t’ai dit.
C’est quand on en est privé qu’on réalise qu’on avait accès à la liberté.
C’est bon maintenant ? Tu l’entends ?
Un sourire se dessine sur les lèvres de l’homme qui ferme les yeux.
N’est il pas beau le chant de la liberté ?
Souviens t’en, c’est ça qui te fera tenir à chaque fois que tu sera captif. Les souvenirs sont les meilleurs moyens que l’homme possède pour s’échapper, ne l’oublie pas.

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jeudi 14 juin 2007

* Combat *



C'est une bagarre qui se déroule, une bagarre sans merci...
C'est des coups qui volent, qu'on essaye d'esquiver, mais qui au final nous affaiblissent...
C'est une bagarre bien plus dangeureuse que celles qui se déroulent dans la rue, non ici c'est une bagarre de mots. Les combattants se connaissent, et moi je suis au milieu, ne sachant plus qui soutenir.

Les mots s'enchainent et volent, bien plus puissant qu'une paire de baffes, bien plus puissants... Mais on reste droit, on serre les dents, on ne montre pas sa souffrance, et on essaye encore plus d'achever son ennemi, on garde la tête droite.
Comme à chaque fois dans ce genre de combat, on à appliquer le diction "si tu veux connaître ton ennemi, fais-t-en un ami", alors chacun sait où taper.

Et je le vois lever la tête encore plus haut, prenant un air encore plus digne, et je sais qu'il est touché.
Alors j'ai envie de répondre, de répliquer...
Si tu savais comme, les mots ne valent rien, comme ils sont les plus hypocrites de tous. Et pourtant on s'y accroche, comme toujours, on s'accroche à cette seule façon qu'on à de connaitre le regard des autres.
Et moi, j'ai appris à me détacher des mots, car c'est la pire façon de communiquer, la pire de tous, mais au final, c'est celle à laquelle on prête le plus attention, car c'est la plus simple à voir.
Mais moi j'ai réussi à y faire abstraction vois-tu, moi les mots ne m'attaignent pas.
Mais au contraire, c'est les gestes qui me touchent, et le fait que je lise si clairement en toi, le fait de te voir blesser comme ça, fait vibrer ma corde sensibe.
C'est d'ailleur pour ça que les mots sortent de ma bouche en un flot ininterrompu.
J'aurai même envie de le hurler, mais je ne fais rien.

Alors impuissant, je ferme les yeux, et ne prete plus qu'attention qu'au combat de mots.
Que le meilleur gagne.

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dimanche 10 juin 2007

* Ma valkyrie *




Et un nouveau texte écrit par Tanguy ici ^_^

"Je n'arrive pas a ne pas t'aimer",
ces mots, simples petits mots, m'ont ramené.
Je souris, j'ai envie d'hurler ma joie au monde,
mais en meme temps, je me dis "a quoi bon, seule elle compte?".

Et pourtant voila, je reprends le chemin du miroir,
celui la même qui a dévoilé il y a peut mon desespoir.
Celui sans qui peut-être je n'aurais jamais pu te dire,
en toute humilité, que je ne veut que te voir sourire.

Je ne sais pas comment te le dire,les actes, les mots,
les intentions, les regards, les sourire, tous me font défaut.
J'aimerais juste te dire que je suis heureux, que je suis a toi,
si je dois m'arracher le coeur, je le ferais, car il n'y a que toi et moi.

Je ne sais vraiment pas m'exprimer, et j'en suis désolé,
mais tout ce que je peut dire, en toute sincérité,
c'est que je t'aime, ma douce valkyrie, mon eternelle source de bonheur,
mon corps et meme mon âme, je te les offre, y compris et surtout mon coeur.

Je suis peut être completement idiot, completement marteau,
mais tes mots doux, tes larmes de joie me rappellent que ce n'est pas pour
du faux.
Je t'aime, tu m'aimes, l'equation à changé,
et j'ose esperer, le soir a voix basse, pour l'eternité.

Pour toi mon étoile,


Ton ange qui se dévoile.

vendredi 8 juin 2007

* Parceque c'est tellement bien ...*

Que j'écoute cette chanson en boucle, la vidéo c'est juste quelques images...
Vive les Fatals Picards!

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lundi 4 juin 2007

* Et tu fumes cette cigarette *

J'avais une sorte de refrain dans la tête, je sais pas d'où il vient, peut-être d'une chanson ou d'un poême, peut etre que de mon cerveau, toujours est -il que je l'ai écrit pour l'exorciser.
Je ne sais pas ce que ça vaut, surement rien, mais j'ai encore écrit égoistement, pour moi, pour pauser des mots comme ça, parceque j'en avais besoin.
De pauser des mots que peut-être je serai la seule à comprendre, alors oui, j'écris égoistement, pour ce plaisir, avant d'être toujours insatisfaite du résultat, mais je continue, encore et toujours, parceque j'aime cette dose de plaisir.

Et tu fumes cette cigarette, commme tu brûles ta vie.
Chaque bouffée d'avalée c'est des secondes, des minutes en moins, mais tu t'en moque... Tu es bien prêt à sacrifier une journée de ta vie pour une minute de bonheur.
Alors tu fumes cette cigarette comme tu fumes ta vie.
Tu prend goût à cette accoutumance, et petit à petit, ta cigarette tu n'en profites même plus... Tu fumes comme d'autre gribouillerai un dessin sans même le regarder, le tabac n'a quasiement plus de goût.
Tu fumes pour oublier que chaque seconde de ta vie est orchestrée, pour penser que tu peux prendre du temps dès que tu le décide. Mais tu n'es qu'une petite note dans une boite à musique, si tu es en retard ne serait-ce que d'une seconde, c'est toute la musique qui est fichue.
Et tu fume cette dernière cigarette comme tu fumes ta vie. Tu as décidé d'arrêter, tiendra, tiendra pas?

Tenu une demi journée...

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